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SPÉCIAL

ENSEIGNANTS

LA SITUATION ACTUELLE - en quelques mots

Depuis une vingtaine d'années, les enseignants sont confrontés à de nombreux changements qui impactent, parfois fortement, la qualité de leur travail au quotidien*. Une des différences les plus notables que nous constatons lors de nos interventions en milieu scolaire, réside sans aucun doute dans le comportement des élèves, qui a beaucoup changé en une génération. Et tout particulièrement depuis la crise du Covid.

 

Les jeunes d’aujourd’hui grandissent dans un monde en crises et devant des écrans, ce qui modifie leur développement cognitif et leur psychologie, ainsi que l’attestent les études sur le sujet. Ils ne voient pas le monde comme leurs aînés. D'où des changements notables dans leurs modes de communication, leurs façons de  (se) parler, leurs rapports aux autres ou leurs besoins éducatifs – pour ne citer qu’eux.

Plus les années passent, plus ce décalage se creuse, et plus cela suscite des interrogations, des incompréhensions, voire des jugements, parmi de nombreux adultes, parmi lesquels un nombre croissant d’enseignants.

Pourtant, malgré ce contexte particulier, les enseignants français reçoivent toujours peu (ou pas) de formations adaptées sur la psychologie des ados, l'estime de soi, ou le harcèlement. Or, comme les études en neurosciences l’ont clairement démontré, ces facteurs impactent fortement l'intérêt des élèves pour l’école, mais aussi leurs phases d'apprentissage. Avec des conséquences directes sur le bien-être des équipes éducatives, sur le climat scolaire et la qualité du travail de chacun.

Il devient de plus en plus important d’accompagner les personnels éducatifs qui le souhaitent dans ce changement de paradigme ! En le proposant des formations adaptées aux besoins éducatifs d'aujourd'hui. Car le changement va continuer de s'amplifier dans les années qui viennent. Surtout si l’on songe à l'Intelligence artificielle, qui va se diffuser de plus en plus dans les écoles ; comme dans toutes les strates de la société. La révolution numérique est en cours…

 

 

* Changements dans les comportements des élèves, réformes et programmes qui se succèdent à un rythme soutenu, baisse de reconnaissance du métier d’enseignant, baisse du niveau scolaire, diminution des moyens et des effectifs, difficultés de recrutement, pression grandissante des parents, éducation plus "souple" dans les familles, incivilités croissantes, cours en distanciel, contraintes sanitaires, Intelligence artificielle…

 

NOTRE RÉPONSE

Pour aider les enseignants [1] à mieux participer à ce changement de paradigme majeur, nous leur proposons des modules de formation conçus comme des boites à outils, dans lesquels ils peuvent trouver des éléments concrets et efficaces, pour nourrir leur réflexion et surtout pour améliorer leurs pratiques professionnelles avec les jeunes d’aujourd’hui.

Notre objectif n’est pas de proposer un maximum de contenus – que l’on peut trouver sur des sites spécialisés ou grâce à l’IA, mais plutôt de proposer des « outils » effectifs et concrets ; en prise directe avec le quotidien des équipes éducatives. C’est pourquoi nos modules sont basés sur des faits réels, qui dépeignent des situations que de nombreuses personnes peuvent ou pourraient vivre au sein des établissements scolaires. Chacun pourra ainsi trouver dans la formation choisie les clés qui lui conviennent pour améliorer son travail avec les jeunes. Et ses relations avec les collègues et les parents d’élèves

 

Mieux formés, tout en étant davantage en phase avec les besoins actuels, les enseignants [1] pourront ainsi être plus à l’aise et efficaces dans leur travail avec les jeunes d’aujourd’hui !  Ce qui augmentera l’intérêt des élèves pour les cours, et permettra des phases d’apprentissage plus profondes et durables. Pour des journées plus effectives et agréables - pour les jeunes, comme pour les adultes.

 

[1] Mais aussi AED, AESH, CPE, formateurs, infirmières…

 

NOS FORMATIONS EN QUELQUES POINTS :

 

. Proposer des modules de formation qui s’appuient sur des faits réels ;

. Aider les participants à améliorer leurs pratiques en classes ;

. Permettre de meilleures prises de conscience - préalable à tout changement ;

. Proposer des clés concrètes pour améliorer ses phases de travail ;

. S'appuyer sur les neurosciences ;

Proposer des éléments clés sur la psycho des ados, de l'intelligence émotionnelle, de l'estime de soi...

LES MODULES ENSEIGNANTS

Les contenus de nos modules sur la psychologie et l'estime de soi

ont été validés par Leïla Hamelin, psychologue clinicienne 

Les contenus de nos modules sur les addictions ont été validés

par Jean-Charles Dupuy, addictologue "SOS addictions"

JÉRÔME, NOTRE INTERVENANT SPÉCIALISÉ

FORMATIONS POUR ENSEIGNANTS

(Mais aussi les modules parents et grand public)

Pendant 25 ans, Jérôme a travaillé dans les établissements scolaires en tant qu'intervenant spécialisé dans les conduites à risques - addictions & harcèlement. Au cours de ces nombreuses années d’intervention, il a échangé avec plus de 150.000 jeunes et des dizaines de milliers d'adultes - parents, profs et individuels. Il en a tiré une expérience du terrain très large.

Petit à petit, il a ressenti le besoin de proposer une approche de la prévention davantage centré sur l'humain et ses besoins. En 2013, il franchi le pas et devient un des fondateurs de l'association Totem, dont il occupe la fonction de directeur.

Depuis 2017, il assure également les formations pour​ les enseignants et les interventions pour le grand public - qui ne cesse d'augmenter.

Nous pouvons nous appuyer sur son importante expérience du terrain, ainsi que ses nombreuses années de formation continue (coaching, PNL, psychologie, estime de soi, neurosciences...)  Il connait bien son sujet.

Quant à ses années de comédien professionnel, elles lui ont donné une importante facilité de communication et d'adaptation. Ce qui lui permet d'être à l'aise devant tout type de public.

PHOTO JEROME

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LA SITUATION ACTUELLE 

Chez les jeunes

Les enseignants sont désormais de plus en plus confrontés à des changements importants dans leurs pratiques en classes :  

Jadis respectée, leur autorité est aujourd’hui régulièrement remise en question par de nombreux élèves. Car le poids de la parole de l’adulte a changé au cours de ces deux dernières décennies. Tout comme le rapport à l’autorité, au travail, au silence, au vivre ensemble…

 

La société actuelle est en mutation, et les jeunes ont logiquement d’autres visions du monde que celles de leurs aînés. Leurs besoins éducatifs, leur rapport au travail, à l’argent et à l'école sont également très différents de ceux des adultes qui les entourent...

 

Le comportement général des élèves a également évolué sous l’influence des nouvelles technologies et des réseaux sociaux. L’individualisme de la société se reflétant logiquement sur le comportement des jeunes d’aujourd’hui. C'est pourquoi les règles de vie en classe sont parfois difficilement respectées par certains élèves.

 

Du fait de la place prépondérante des écrans dans de nombreux foyers, beaucoup de jeunes grandissent seuls, ou presque ; isolés derrière leurs écrans. Comme le soulignent plusieurs études récentes, un sentiment accru de solitude touche une proportion significative des 12-24 ans (62%) ; affectant leur santé mentale et leur engagement scolaire. [2] Ce phénomène a été largement amplifié par la crise du Covid. De nombreux jeunes se sentent angoissés dans leur quotidien et par rapport à l’avenir. [3]

Les jeunes d'aujourd'hui ont logiquement des demandes et des attentes que n'avaient pas ceux des années 80 ou 90, et même ceux des années 2.000... La pression sur la communauté éducative ne fait que s'accroitre. Ce qui rend l’enseignement plus complexe qu’il ne l’était il y a encore quelques années.

 

[2] Voir l’étude parue dans le journal « Le Monde » en octobre 2024.

 

[3] Selon une étude de l’Assurance maladie, les prescriptions d'antidépresseurs ont augmenté de 60 % chez les 12-25 ans entre 2019 et 2024.

 

Dans la société civile

Les enseignants doivent désormais faire face à une complexification de leurs missions éducatives. Et répondre à une diversité accrue des élèves, incluant l'inclusion de jeunes en situation de handicap ou la prise en compte de besoins particuliers pour de nombreux élèves. On demande souvent à la communauté éducative d’être à l’écoute des problèmes psychologiques et familiaux des élèves, mais aussi d’être pertinents et efficaces en cas de harcèlement – même avec peu (ou pas) de formation. Tout en participant à l’intégration des technologies numériques. 

​​Dans les familles

Les règles éducatives sont devenues plus « souples », avec des repères qui s’effacent ou qui ont parfois totalement disparus. Certains parents, en grandes difficultés, s’en remettent à l’école pour les aider à élever leurs enfants. Car l’école est parfois le dernier repère net pour qu’un jeune puisse se construire de façon équilibrée.  D'autres parents, n’hésitent plus à contester l’autorité et le savoir-faire des enseignants ; parfois devant leurs enfants. Ce qui affaiblit la légitimité et l’autorité de la communauté éducative dans son ensemble.​ Sans parler de l’augmentation des familles monoparentales, des "parents-copains", ou du syndrome de l’enfant-roi au sein de nombreuses familles...  Tout cela n’aide pas les enfants à se structurer de façon équilibrée, ni les enseignants à enseigner de façon sereine.

 

Loin de nous l’idée de jeter la pierre aux parents. Beaucoup font de leur mieux, avec leurs propres blessures, et leurs difficultés personnelles, dans une société qui ne les aident pas. Car elle propose le bonheur par la performance, la consommation et « l’avoir ». 

Ces nombreux changements observables dans les familles nourrissent l’augmentation des comportements perturbateurs parmi les élèves.[4] Et n’aident pas la communauté éducative dans son travail.

 

[4]  Selon un sondage OpinionWay (juillet 2024) pour l’observatoire Hexagone, 71% des parents d’élèves et 65% des enseignants interrogés estiment que les violences ont augmenté à l’école depuis cinq ans. 

87% des enseignants interrogés, déclarent aussi avoir été témoins ou informés d’au moins un fait de violence dans leur établissement pendant l’année scolaire 2024-2025.

 

 

Les réseaux sociaux

Un autre obstacle important pour les enseignants réside dans l’usage excessif des téléphones portables et des réseaux sociaux chez les jeunes (mais aussi les adultes…) L'exposition excessive aux écrans entraîne souvent des carences, voire des troubles du sommeil chez les adolescents, affectant leur capacité de concentration et leur compétences. Le temps passé sur les écrans pouvant empiéter facilement sur celui dédié aux devoirs. Désormais, l’enseignant doit conjuguer avec une nette diminution de l'attention et de la concentration en classe.

DES CONSÉQUENCES FORTES conséquences fortes

Travail plus complexe

Le travail de l'enseignant s’est donc nettement complexifié depuis une vingtaine d’années, et particulièrement depuis la crise sanitaire  : Désormais, il ne suffit plus de transmettre un savoir. Il faut capter l’attention, instaurer un climat propice aux apprentissages et gérer des tensions nouvelles. Tout en faisant face à une remise en question accrue de l’autorité de l’adulte et des institutions. Sans parler des incidents verbaux violents, voire des attaques physiques envers certains membres du personnel éducatif…

Face à cette surcharge émotionnelle et mentale, beaucoup d'enseignants se sentent démunis, et un nombre croissant d'entre eux est en souffrance. Ce qui engendre souvent des conséquences bien visibles : baisse de la motivation, difficultés de recrutement, augmentation des arrêts maladie et des démissions ; même parmi ceux qui aiment profondément leur métier... [5]

 

Il est étonnant de constater que, face à ces nouveaux enjeux, le système éducatif français a pris beaucoup de retard, surtout si l'on regarde les changements déjà mis en place chez nos voisins européens les plus en pointe sur le sujet - Pays Scandinaves, Allemagne, Pays-Bas, Irlande, Ecosse...  Sans parler du Canada ou de nos cousins québécois.

 

[5] Selon une étude publiée en 2023 par la DEPP (Direction de l’Evaluation, de la Prospective et de la Performance) du ministère de l’Éducation nationale, le nombre d’enseignants ayant quitté l’éducation nationale a augmenté de près de 700 % depuis 2008.

 

NOTRE AXE DE FORMATION

Faciliter le travail

Pour faciliter le travail de la communauté éducative, nous proposons des modules de formation pratiques, avec des éléments concrets et clairs. Ils sont construits autour de faits réels, qui dépeignent des situations que les enseignants ou la vie scolaire peuvent vivre dans l'enceinte du collège ou du lycée.

Nous répondons ainsi aux besoins et aux demandes de nombreuses personnes avec lesquelles nous avons échangé lors de nos onze années d’interventions auprès des adolescents. Mais aussi des retours que nous avons eu lors de nos 230 journées de formation…  (Sans parler des expériences professionnelles propres à chacun d’entre nous).

Enrichir sa pratique

Chaque personne qui participe à l’une de nos formations peut ainsi trouver des éléments innovants et factuels pour enrichir sa réflexion sur la thématique choisie, mais surtout des clés très concrètes pour améliorer sa pratique professionnelle et son quotidien avec les jeunes - et ses collègues.

​Pour mieux participer aux changements éducatifs en cours, nous proposons dans nos modules de nombreux éléments clés de l'éducation de demain – psychologie des ados d’aujourd’hui, neurosciences, intelligence émotionnelle, compétences traverses… Comme nous ne nous adressons pas à des professionnels ou des étudiants en psychologie ou en neurosciences, nous avons voulu partager ces points clés de façon directement applicable dans sa pratique quotidienne avec les jeunes.

Qualité de vie au travail

Nous proposons également dans tous nos modules de formation des éléments clés de l'estime de soi, qui est la toile de fond des addictions, du harcèlement, de l’absentéisme… Mais aussi le fondement incontournable du mieux vivre ensemble, et la base d’un bon climat scolaire - préalable incontournable de l’amélioration de la qualité du travail à l'école.  

 

 

 

NOTRE PERCEPTION

Education de demain

Au milieu de ce tableau plutôt sombre de la situation actuelle, nous voyons le côté positif de la situation : en effet, toute crise porte en elle les germes d’une évolution, une possibilité de changement favorable. Quand la vie nous confronte à des obstacles, c’est pour mieux nous aider à grandir, et à évoluer.

Si nous savons saisir les opportunités de changer, nous avons la possibilité de mettre en place des stratégies adéquates pour remettre l’humain au centre des préoccupations. Et proposer une autre approche éducative, bien plus proche des besoins humains. Le point commun de nombreuses difficultés que nous observons dans les établissements scolaires se trouve au niveau de ce nous appellerons « l’étage affectif » - ressenti, bien-être, épanouissement, ouverture, écoute de soi ; mal-être, addictions, harcèlement, incivilités, violences… Et c'est bien à ce niveau là qu'il faut désormais également travailler.

C’est ce genre de travail éducatif qu’emprunte désormais les pays les plus en pointe en matière de prévention et d'éducation - Canada, Suisse, Pays-Bas, Pays Scandinaves...​ Ils développent de plus en plus ce que certains spécialistes appellent « l’éducation de demain » - psychologie des ados, estime de soi, compétences traverses, développement de l’intelligence émotionnelle…

Vide intérieur

Comme beaucoup de jeunes se sentent seuls et isolés ; vides parfois, ils cherchent à l’extérieur ce qu’ils n’arrivent pas à trouver à l’intérieur d’eux-mêmes, et se "remplissent" comme ils peuvent : Certains en passant d’innombrables heures sur des jeux vidéo dans lesquels ils ont une illusion de contrôle – tout au moins sur leur personnage de jeux (je). D’autres préférant s’évader grâce à des conduites addictives, qui leur permettent d’anesthésier, momentanément, un mal-être pas toujours repéré ; et souvent difficile à soigner seul. Quant certains n'ont trouvé comme seule option que le bruit, la fureur, ou la violence…  

 

Adultes référents

Pour combler ce sentiment de vide, ou ce besoin de lien inhérent aux êtres humains, beaucoup d’adolescents cherchent, souvent de manière inconscience, ce que nous appelons un « adulte référent ». Un adulte juste, bien centré en lui-même ou elle-même, et qui peut aider le jeune à grandir intérieurement, grâce à sa présence, son écoute, son empathie, et sa bonne estime de soi. Rappelons qu’il y a encore beaucoup de cellules miroirs dans le cerveau des ados et que la valeur de l’exemple est fondamentale pour leur construction.

Logiquement, plus il y aura « d’adultes référents » dans un établissement scolaire, et plus le comportement des jeunes va se bonifier de façon générale. Ce qui engendrera d’un côté une nette amélioration du climat scolaire, et de l’autre une diminution notable du harcèlement, des addictions, de l’absentéisme ou de la violence…

Bien entendu, il ne s’agit pas une recette miracle, qui n'existe pas. Mais bel et bien d’une orientation, d’un cap à maintenir vers un « mieux-être » des apprenants et des équipes éducatives. Les neurosciences affirment  que les phases d’apprentissage sont toujours plus rapides et profondes lorsque l’apprenant est suffisamment bien dans sa peau et qu’on lui propose un environnement positif et respectueux. C’est également valable pour les enseignants qui ont un meilleur impact, et une meilleure relation avec les élèves – et leurs collègues, s’ils sont sensibilisés à ces thématiques.

 

 

Intelligence artificielle

Nous pensons qu’avec la révolution numérique, qui ne fait que commencer, il va être de plus en plus difficile de rester uniquement dans la transmission exclusive d’un savoir. Car dans les quelques années qui arrivent, l’IA va dépasser, et de très loin, les possibilités intellectuelles que les humains peuvent proposer. Le métier d’enseignant est à la veille d’une véritable révolution. [6]

C’est ici, selon nous, que réside une autre bonne nouvelle. Car la machine, aussi développée soit-elle, est à peu près nulle au niveau émotionnel et affectif – du moins pendant un temps très long. Il y a donc ici un espace de travail important à développer pour les personnes de la communauté éducative qui voudraient s’en saisir – certains s’en saisissent déjà.  L’idée étant de développer intelligence rationnelle et intelligence émotionnelle dans des proportions équilibrées. Et plus seulement la première, trop souvent au détriment de la deuxième.

 

L'humain au centre des préoccupations

Plus il y aura de personnes qui feront des pas en avant pour se rapprocher de ces « adultes référents » dont les jeunes ont tant besoin pour mieux se construire, plus ces derniers s’empareront facilement des cours, et plus l’ambiance générale des écoles va s’améliorer. Et plus il sera facile de mieux vivre ensemble. Finalement, c’est une vraie question de société à laquelle le comportement actuel des jeunes vient nous interpeler.

Allons-nous remettre l’humain et ses besoins au centre de nos préoccupations ? Et nous intéresser davantage aux besoins de notre être intérieur… A chacun d’en décider et d’apporter, ou non, sa petite contribution à la venue du monde de demain…

 

[6] Lors d’une récente interview (2025) sur la chaîne de TV NBC, Bill Gates a estimé qu’au cours de la prochaine décennie, l’IA progressera à un niveau tel que l’expertise humaine sera remplacée par l’intelligence artificielle dans de nombreuses professions – entres autres médecins & enseignants...

 

 

 

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